Meta a décidé de mettre fin à son programme de vérification des faits. Avec cette décision, l’entreprise semble s’aligner sur X en abandonnant la vérification des informations diffusées sur ses plateformes.
Son programme
Meta a décidé de mettre fin à son programme de vérification des faits sur ses plateformes de réseaux sociaux, rien de moins.
Cette responsabilité
Avec cette décision, l’entreprise semble s’aligner sur l’exemple de X, en renonçant à vérifier les informations diffusées et en choisissant de transférer cette responsabilité à sa communauté, via des annotations ou des corrections.
La désinformation
Jusqu’à présent, la désinformation sur Facebook, Instagram et Threads était modérée par l’entreprise.
La liberté d’expression
Zuckerberg a tenté de justifier sa décision en déclarant qu’il était temps de «revenir à nos racines axées sur la liberté d’expression» et en affirmant que son entreprise commettait «trop d’erreurs et exerçait trop de censure».
Une réponse directe
Ce changement soudain semble être une réponse directe à l’arrivée de Trump à la présidence, d’autant que Meta a récemment intégré plusieurs figures influentes proches de Trump au sein de ses rangs.
Un million de dollars
Mark Zuckerberg, par l’intermédiaire de sa société Meta, a également récemment fait un don d’un million de dollars au fonds d’investiture de Donald Trump pour son inauguration prévue le 20 janvier prochain.
Une série d’actions
Cette initiative s’inscrit dans une série d’actions visant à renforcer les liens entre Meta et l’administration Trump.
Dana White
Parmi celles-ci, la nomination de Dana White, président de l’UFC et proche de Trump, au conseil d’administration de Meta, ainsi que la promotion de Joel Kaplan, républicain influent, au poste de directeur des politiques mondiales.
Une volonté claire
Ces décisions reflètent une volonté claire de Meta et Zuckerberg de s’aligner davantage avec l’administration Trump.
Une augmentation
Zuckerberg a également reconnu que ce changement de réglementation entraînerait probablement une augmentation de «contenus problématiques» sur ses plateformes, tout en affirmant que cela permettrait de «réduire le nombre de publications et de comptes innocents supprimés par erreur».
Partialité politique
Cette décision intervient dans un contexte où les républicains, en particulier Kaplan, récemment nommé chez Meta, critiquent les réseaux sociaux et les sites de fact-checking pour leur supposée partialité politique.