Mark Zuckerberg se met à l’ère du bro, change de look et passe chez Joe Rogan pour réaffirmer sa nouvelle alliance avec la droite républicaine de Donald Trump et de ses troupes. Zuckerberg affirme désormais que lui et son entreprise ont été «trop biaisé» dans son jugement à l’époque, blâmant Joe Biden et… Meta.
Joe Rogan
Le PDG de Meta, Mark Zuckerberg, a profité de son récent passage dans l’émission de Joe Rogan pour critiquer l’administration de Joe Biden, ce qu’il considère comme l’élite culturelle, y compris les médias et journalistes traditionnels, ainsi que sa propre entreprise, Meta.
Sa nouvelle allégeance
Cette tirade de Zuckerberg visait clairement à afficher sa nouvelle allégeance et loyauté envers Donald Trump et ses alliés.
Son soutien inébranlable
Zuckerberg a récemment multiplié les initiatives pour afficher son soutien inébranlable à l’administration Trump.
Des postes clés
Il a notamment nommé des proches de Trump à des postes clés chez Meta, versé un don d’un million de dollars pour l’investiture de Trump, mis fin à son programme de fact-checking sur ses plateformes, ainsi qu’à ses initiatives DEI.
Ces sujets
Il s’est également exprimé sur ces sujets lors du podcast de Joe Rogan, en plus d’afficher un nouveau look et une nouvelle attitude pseudo-confiante.
Sa propre entreprise
Il y a abordé divers sujets, exprimant un ressentiment croissant envers plusieurs d’entre eux, y compris les politiques de sa propre entreprise.
Vivement critiqué
Zuckerberg a également vivement critiqué l’administration Biden pour sa gestion de la crise sanitaire de la COVID, l’accusant d’avoir injustement imposé une forme de censure à son entreprise.
Le point de bascule
Bien qu’il admette avoir été en accord avec la plupart de ces directives à l’époque, il affirme que le point de bascule pour lui est survenu lorsque Biden a publiquement accusé les réseaux sociaux de «tuer des gens» en laissant se propager la désinformation.
L'administration Biden
Selon lui, l’administration Biden contactait régulièrement son équipe pour «crier, proférer des insultes» et «menacer de représailles» si certaines publications, même celles que Zuckerberg considérait comme véridiques, n’étaient pas supprimées de ses réseaux sociaux.
Les méchants médias traditionnels
Le PDG de Meta remonte jusqu’à l’élection de 2016 pour approfondir ses réflexions, affirmant que lui-même et d’autres personnes au sein de l’entreprise ont, à tort, adhéré à l’idée promue par «les médias traditionnels» selon laquelle la désinformation sur les réseaux sociaux aurait favorisé l’élection de Donald Trump.
Trop biaisés
Zuckerberg affirme désormais que lui et son entreprise ont été «trop biaisés» dans leur jugement à l’époque. Évidemment, nous ne saurons jamais l’avis de la plupart de ses subalternes, dont certains doivent se demander quelle mouche républicaine a soudainement piqué leur patron, qui sonne de plus en plus comme un autre milliardaire avide de théories diverses et propriétaire d’un réseau social qui a récemment changé de nom. On vous laisse deviner lequel.