Face aux inquiétudes de Donald Trump, le Prince Harry et Meghan Markle prennent le taureau par les cornes.
Le président américain indiquait qu’il était hors de question que les États-Unis paient la facture pour assurer la sécurité du couple royal qui s’est maintenant installé en Californie.
Dans l’une de ses publications sur Twitter, Donald Trump ne laissait planer aucune ambiguïté sur ses intentions.
«Les États-Unis ne paieront pas pour leur sécurité. Ils doivent payer!», écrivait le président.
Hier soir (29 mars), le Duc et la Duchesse de Sussex confirmaient qu’ils paieraient eux-mêmes la facture salée, évaluée à 25 millions de dollars (US) par année, à même leurs propres fonds, pour leur sécurité.
«Le Duc et la Duchesse de Sussex n’ont aucunement l’intention de demander au gouvernement américain des ressources pour assurer leur sécurité. Des arrangements privés ont été organisés », ont indiqué les représentants du couple aux États-Unis.
Jusqu’au 31 mars, les coûts engendrés pour la sécurité du prince, sa femme et leur fils Archie étaient défrayés par le gouvernement britannique et le gouvernement canadien lorsque le couple vivait encore au Canada.
Avec le «Megxit» qui entre en vigueur le 1er avril, Harry et Meghan doivent maintenant subvenir à leurs besoins. En contrepartie, ils peuvent aussi engranger des revenus privés, chose qu’ils ne pouvaient faire lorsqu’ils étaient sous l’emprise de la couronne britannique.
Harry et Meghan n’auront probablement aucune difficulté à engranger des revenus importants.
La duchesse de 38 ans avait dû mettre sa carrière d’actrice en veilleuse lorsqu’elle s’est jointe à la famille royale britannique. Elle pourra bientôt reprendre cette lucrative carrière, auréolée d’une nouvelle notoriété planétaire.
Certains estiment qu’elle pourrait générer des revenus de 100 millions par année.
De son côté, le prince semble pencher vers la poursuite des oeuvres pour les plus démunis dans le monde, comme le faisait avant lui sa regrettée mère, la Princesse Diana.