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Trump «très mécontent» des frappes israéliennes contre le Qatar
Crédit Getty Images

Israël a mené une série de frappes aériennes surprises à Doha, la capitale du Qatar, affirmant viser de hauts responsables du Hamas.

Israel launched a series of strikes targeting Hamas’ leadership in the Qatari capital, in an unprecedented attack inside the territory of an important US ally and key mediator in the Gaza ceasefire talks. Here is what to know: https://cnn.it/4nh6ete

CNN (@cnn.com) 2025-09-10T08:30:06.852315629Z

Le président américain Donald Trump a affirmé être «très mécontent» de cette opération, dont il aurait été brièvement informé avant qu’elle n’ait lieu, selon ce qu’il affirme.

Il s’est dit surpris par une attaque menée sur un territoire qu’il considère comme allié.

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L’opération, sans précédent, menée à Doha au Qatar, un médiateur clé dans les discussions de cessez-le-feu à Gaza, a eu lieu alors que les négociateurs examinaient une récente proposition de trêve soutenue par Donald Trump, selon CNN.

Six personnes ont été tuées, dont un agent de sécurité qatari, mais la direction du Hamas a affirmé avoir survécu à l’attaque.

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Bien qu’Israël pensait avoir atteint ses cibles, le Hamas a affirmé que la frappe avait échoué à éliminer ses membres chargée des discussions de cessez-le-feu. Parmi eux se trouvait l’une des principales cibles de l’attaque: le négociateur en chef du Hamas, Khalil Al-Hayya.

qatar Planet LabsAFP via Getty Images

Donald Trump a réagi à l’attaque surprise au Qatar en affirmant qu’il n’était «pas enthousiasmé par toute la situation» et qu’il s’était senti «très mécontent de tous les aspects». Cette déclaration intervient alors que le Qatar a qualifié l’offensive israélienne de «violation» du droit international.

Donald Trump a déjà fait parler de lui pour sa relation étroite avec le Qatar, notamment lorsqu’il avait accepté de recevoir un Boeing 747‑8 initialement évalué à environ 400 millions de dollars, offert comme cadeau, une opération jugée très controversée.

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Il envisageait d’employer cet avion comme Air Force One jusqu’à la fin de mandat, avant de le transférer ensuite à sa fondation ou bibliothèque présidentielle.

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