
L’opération, sans précédent, a été menée à Doha au Qatar.
Une série de frappes

Israël a mené une série de frappes aériennes surprises à Doha, la capitale du Qatar, affirmant viser de hauts responsables du Hamas. Une décision qui aurait rendu le président américain furieux, selon plusieurs sources.
Prévenu d'avance?

Donald Trump a affirmé publiquement être «très mécontent» de cette opération, dont il aurait été brièvement informé avant qu’elle n’ait lieu, selon ce qu’il affirme. D’autres sources ont contredit cette affirmation, toutefois.
Un territoire allié

Il s’est dit choqué par une telle attaque menée sur un territoire qu’il considère comme allié.
Doha

L’opération, sans précédent, menée à Doha au Qatar, un médiateur clé dans les discussions de cessez-le-feu à Gaza, a eu lieu alors que les négociateurs examinaient une récente proposition de trêve soutenue par Donald Trump, selon CNN.
Six personnes tuées

Six personnes ont été tuées, dont un agent de sécurité qatari, mais la direction du Hamas a affirmé avoir survécu à l’attaque.
Khalil Al-Hayya

Bien qu’Israël pensait avoir atteint ses cibles, le Hamas a affirmé que la frappe avait échoué à éliminer ses membres chargée des discussions de cessez-le-feu. Parmi eux se trouvait l’une des principales cibles de l’attaque: le négociateur en chef du Hamas, Khalil Al-Hayya.
«pas enthousiasmé par toute la situation»

Donald Trump a encore réagi à l’attaque surprise au Qatar en affirmant qu’il n’était «pas enthousiasmé par toute la situation» et qu’il s’était senti «très mécontent de tous les aspects». Cette déclaration survenait alors que le Qatar a qualifié l’offensive israélienne de «violation» du droit international.
Un cadeau

Donald Trump a déjà fait parler de lui pour sa relation étroite avec le Qatar, notamment lorsqu’il avait accepté de recevoir un Boeing 747‑8 initialement évalué à environ 400 millions de dollars, offert comme cadeau, une opération jugée très controversée.
Air Force One

Il envisageait d’employer cet avion comme Air Force One jusqu’à la fin de mandat, avant de le transférer ensuite à sa fondation ou bibliothèque présidentielle.