C’est au tour de Sting de passer à la caisse en vendant les droits de son catalogue musical. Il empoche 250 millions de dollars américains.
Le chanteur britannique a vendu ses catalogues d’édition et de musique enregistrée, y compris les succès de son groupe The Police, à Universal Music Group (UMG), la plus grande maison de disques au monde.
UMG met la main sur l’ensemble du portefeuille de Sting, de The Police à aujourd’hui, ce qui comprend 15 albums studio parus depuis 1985.
Le label a indiqué que l’entente avec Sting comporte une compensation pour le guitariste et batteur de Police, Andy Summers et Stewart Copeland, pour les chansons dont ils partagent les droits d’écriture.
250 millions de dollars (US), c’est exactement la somme obtenue par la succession de David Bowie en début d’année pour la vente des droits musicaux du regretté chanteur.
Même si le montant est considérable, le paiement touché par Sting est loin de celui accordé à Bruce Springsteen en décembre dernier. The Boss a lui mis la main sur un demi-milliard de dollars pour sa musique.
Un grand mouvement de vente de droits musicaux s’est amorcé l’an dernier à travers le monde. Des artistes tels que John Legend, ZZ Top, Bob Dylan, Neil Young, Shakira, Tina Turner, Lindsey Buckingham de Fleetwood Mac, Blondie, Enrique Iglesias, Stevie Nicks, Barry Manilow ou encore Timbaland ont tous encaissé de gros chèques récemment.