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Robert De Niro, la misère des riches

Les finances de Robert De Niro déclinent à vitesse grand V en raison de la pandémie, tel est le constat fait par ses avocats devant la cour face à son ancienne épouse.

L’acteur Robert De Niro a demandé à la cour de réduire les paiements qu’il fait à son ex-femme, car ses finances personnelles périclitent.

Devant un tribunal de New York dans les dernières heures, l’avocat de Grace Hightower, l’ex-épouse de l’acteur, trouve injuste que le plafond des dépenses autorisées sur l’American Express de sa cliente ait été abaissé par la vedette de 76 ans de 100 000 à 50 000 $ US par mois.

Selon les avocats de Robert De Niro, l’acteur n’a pas le choix de restreindre ses dépenses et celles de son ex, puisque la crise du coronavirus lui a fait perdre une fortune dans les derniers mois.

Robert De Niro est propriétaire de la chaine de restaurant gastronomique Nobu et de l’hôtel Greenwich à Manhattan. Ces établissements ont été fermés de nombreuses semaines, sans revenus.

Selon les représentants de l’acteur, les restaurants Nobu ont perdu trois millions (US) en avril et 1,87 million en mai.

Dans les préarrangements signés avant son mariage en 2004, il était convenu que Robert De Niro paie un million de dollars par année à son ex, advenant une séparation, s’il engrangeait des revenus annuels de 15 millions et plus.

Les avocats de l’acteur ont fait valoir au tribunal que leur client serait «chanceux s’il faisait 7,5 millions en revenus cette année».

En plus d’avoir vu ses entreprises fermées, le tournage du prochain film de Robert De Niro prévu cet été a été repoussé.

Devant ces faits, le juge s’est rangé aux arguments de l’acteur et l’autorise à diminuer la limite de la carte de crédit de Grace Hightower à 50 000 $ par mois. Il lui demande toutefois de payer 75 000 $ supplémentaires afin qu’elle puisse louer une maison d’été pour elle et ses deux enfants.

Photo : Cover Images

Les vedettes québécoises propriétaires d’un restaurant
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