
Mark Carney critique l’invitation à une seconde visite d’État lancée à Trump par le Royaume-Uni, malgré ses menaces contre le Canada.
Une seconde visite

Le premier ministre canadien Mark Carney a vivement dénoncé l’invitation surprise adressée à Donald Trump par Keir Starmer pour une seconde visite d’État au Royaume-Uni, formulée lors de sa récente visite à la Maison-Blanche.
Un membre historique

Une décision d’autant plus controversée que Trump menace régulièrement de faire du Canada le 51e État américain, alors que le pays est un membre historique du Commonwealth et un allié fidèle du Royaume-Uni.
Sa déception

C’est lors d’une entrevue accordée au média Sky News que le nouveau premier ministre canadien a exprimé sa déception face à l’invitation lancée par Keir Starmer à Donald Trump.
Ses propos

Cette initiative survenait alors que Donald Trump intensifiait ses propos remettant en cause la souveraineté du Canada et la légitimité de sa frontière.
Un front uni

Cette invitation, qualifiée de «vraiment historique» et d’«inédite» par Keir Starmer, qui souligne qu’il s’agirait de la première fois qu’un président américain est convié à deux visites d’État par un monarque britannique, a, selon Mark Carney, affaibli les efforts visant à présenter un front uni face aux discours de Donald Trump évoquant l’annexion du Canada.
Le discours du Trône

Rappelons que Mark Carney a récemment invité le roi Charles III à prononcer le discours du Trône le 27 mai prochain, marquant la première ouverture d’une session parlementaire canadienne par un monarque depuis 1977.
Hautement symbolique

Par ce geste hautement symbolique, le premier ministre entend réaffirmer sans ambiguïté la souveraineté canadienne, en réponse aux déclarations de Donald Trump évoquant l’annexion du Canada comme 51e État américain.