Suite à la victoire de Donald Trump à l’élection présidentielle américaine, le gouvernement canadien a indiqué que le Canada serait prêt pour gérer un potentiel afflux massif de migrants à la frontière canadienne, Trump ayant promis des déportations massives dès son premier jour à la Maison-Blanche.
Deputy Prime Minister Chrystia Freeland says Canada has "a plan" on dealing with potential impacts to the border from U.S. President-elect Donald Trump's immigration plans.
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— Globalnews.ca (@globalnews) November 6, 2024
La vice-première ministre Chrystia Freeland a souligné que le gouvernement canadien se prépare depuis un certain temps à l’éventualité d’une présidence de Trump.
Elle a exprimé le souhait d’établir une coopération mutuellement bénéfique entre les deux pays, tout en reconnaissant l’importance de la sécurité des frontières et du contrôle sur qui entre au Canada.
Freeland a également indiqué que le Canada se préparait à gérer un afflux probable de migrants à la frontière canadienne à l’entrée en fonction de Trump en janvier 2025.
Rappelons qu’après la victoire de Trump en 2016, de nombreux migrants ont tenté de franchir la frontière canadienne, fuyant les politiques migratoires strictes de l’administration américaine.
Le Canada a observé un afflux de demandeurs d’asile, notamment à Roxham Road, une route située à la frontière entre le Québec et l’État de New York, fréquemment empruntée par les passeurs et les migrants. En conséquence, les autorités ont dû renforcer les mesures de sécurité dans cette zone.
Une extension de l’accord Safe Third Country Agreement (STCA) entre les États-Unis et le Canada, signé en 2002, a été conclue l’année dernière, qui prévoit que les demandeurs d’asile doivent faire leur demande dans le premier pays sûr où ils arrivent, ce qui signifie que les migrants arrivant des États-Unis doivent y demander l’asile.
Cependant, l’attitude imprévisible de Trump suscite des inquiétudes parmi les Canadiens face à un potentiel afflux plus important de demandeurs d’asile, alors que le Canada fait déjà face à des défis en matière d’immigration.
En réponse, Chrystia Freeland a tenu à rassurer les Canadiens, soulignant que le gouvernement reconnaît pleinement l’importance de la sécurité et du contrôle de sa frontière.
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