Joe Exotic veut que Kim Kardashian lui vienne en aide

Joe Exotic, emprisonné pour 22 ans après avoir tenté de faire tuer une rivale, espère que Kim Kardashian pourra le faire sortir de prison.

La vedette de la docusérie Tiger King sur Netflix a écrit une lettre à Kardashian afin qu’elle interfère auprès du président Donald Trump en sa faveur et que ce dernier lui octroie un pardon présidentiel, rapporte ET.

Dans une lettre manuscrite datée du 4 novembre dont l’émission de télé a obtenu copie, Joe Exotic, de son vrai nom Joseph Maldonado-Passage supplie la célébrité qui a déjà obtenu l’écoute du 45e président de l’aider.

«Je sais que nous ne nous sommes jamais rencontrés, mais je crois que vous avez à coeur notre système de justice», écrit celui qui a tenté de faire assassiner Carole Baskin.

«S’il vous plait, aidez-moi en ne prenant que 10 minutes de votre temps pour appeler le président Trump pour qu’il regarde ma demande de pardon de 257 pages.»

«Avec toutes ces preuves, je suis innocent et je lui demande de signer mon pardon, alors je pourrai retourner à la maison.»

Depuis quelques semaines, les avocats de Joe Exotic tentent de faire gracier l’homme qui est devenu une star internationale le printemps dernier lors de la diffusion de Tiger King. 

Si l’ex-propriétaire de zoo tente d’attirer l’attention de Kim Kardashian, c’est qu’en 2018, elle avait réussi à obtenir la clémence pour une grand-mère emprisonnée à vie, Alice Marie Johnson.

Depuis, la vedette de la téléréalité et femme d’affaires essaie de faire réformer le système de justice. 

Cette demande de Joe Exotic survient alors que le président Donald Trump a gracié Michael Flynn la semaine dernière. L’ex-conseiller à la sécurité nationale avait été condamné par la justice pour avoir fait de fausses déclarations au FBI dans le dossier de l’ingérence russe.

Le président reçoit de nombreuses demandes de pardon. Celui qui quittera la Maison-Blanche le 20 janvier prochain a aussi reçu dans les heures une demande similaire de la part de l’actrice Pamela Anderson pour le fondateur de Wikileaks Julian Assange.