Le prince Harry songeait déjà à s’affranchir de la monarchie britannique lorsqu’il était dans la vingtaine.
Le duc de Sussex a fait cette déclaration dans une interview podcast accordée dans les dernières heures à l’acteur Dax Shephard.
Ce n’est donc pas d’hier que le fils cadet du prince Charles et de feue princesse Diana ne se sent pas à sa place au sein de la monarchie britannique. 15 ans avant qu’il ne rencontre sa femme Meghan Markle et qu’ils choisissent tous les deux de vivre leurs vies aux États-Unis, le prince Harry songeait à quitter un mode de vie qui ne lui convient pas.
Dans cette entrevue, le prince de 36 ans déboulonne ainsi les oui-dires voulant que s’il a quitté son Angleterre natale et les nombreux privilèges qui étaient les siens, c’était en raison du contrôle que sa femme exerçait sur sa vie.
Le prince Harry a révélé qu’il souhaitait vivre sa vie en voyant ce que la monarchie «avait fait à sa mère».
«Tôt dans la vingtaine, je savais que je ne voulais pas de ce travail. Je ne voulais pas être là, ne voulais pas faire cela».
«Comment puis-je faire pour quitter, avoir une femme et une famille lorsque ce sera le temps».
Le duc de Sussex a senti le besoin de se ressaisir.
«Parce que je ne pouvais quitter, je me suis demandé comment je pouvais faire les choses différemment, comment pouvais-je rendre ma mère fière de moi. Je me suis demandé comment me servir de cette tribune pour réellement changer les choses et comment être en mesure de donner aux gens la confiance qu’ils peuvent changer leurs propres vies».
Rappelant que sa vie ressemble à celle du personnage principal du film The Truman Show, qui vit constamment sous l’oeil des téléspectateurs, Harry a mentionné à quel point la rencontre de sa femme Meghan Markle avait été un élément déclencheur pour lui.
«Elle m’a donné le plus bel argument. Elle m’a dit: tu peux créer une vie meilleure que tous autres princes».
Harry et Meghan vivent maintenant une vie «plus libre» à Los Angeles.
«Vivre ici me permet de vivre différemment. Je peux prendre Archie sur mon vélo. Je n’ai jamais eu la chance de faire cela.»