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Elon Musk promet des représailles en 2026

Elon Musk promet des représailles en 2026
Crédit Getty Images

Elon Musk en a surpris plus d’un, y compris sans doute plusieurs membres de la Maison-Blanche, en explosant sur X contre un pilier de l’agenda politique de Trump, et ce, quelques jours à peine après avoir quitté officiellement ses fonctions au sein de DOGE dans l’administration.

JUST IN: Elon Musk blasted President Trump’s domestic agenda bill, calling it a « disgusting abomination. » The White House shrugged off the criticism. cnn.it/43ZnY5F

CNN (@cnn.com) 2025-06-03T18:27:53.196Z

Il s’en est violemment pris au gigantesque projet de loi de Trump et ses alliés, des propos qui n’ont évidemment pas manqué de faire réagir.

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«Je ne peux plus le supporter», a déclaré Elon Musk sur X pour justifier sa violente charge contre le projet de loi de Trump, accusant les membres du Congrès qui l’ont soutenu de précipiter le pays vers la faillite:

«Le Congrès met l’Amérique en faillite.»

Le milliardaire a d’ailleurs menacé tous les élus qui ont soutenu le projet de loi lors des élections de mi-mandat de 2026:

« En novembre de l’année prochaine, on renverra tous les politiciens qui ont trahi le peuple américain.»

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Rappelons que le projet de loi républicain soutenant l’agenda de Trump, adopté par la Chambre, ajouterait 2400 milliards de dollars à la dette sur dix ans.

Un contraste frappant avec les coupes budgétaires drastiques mises en place chez DOGE sous la direction d’Elon Musk, ce qui a d’ailleurs provoqué sa colère sur son propre réseau social, où il a fustigé les élus ayant voté en faveur de l’agenda Trump:

« Honte à ceux qui ont voté pour: vous savez que vous avez mal agi. Vous le savez.»

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Le divorce entre Elon Musk et l’administration Trump prend une tournure houleuse. Lors de sa dernière apparition publique à la Maison-Blanche, arborant un œil au beurre noir, Musk a alimenté les spéculations.

Il garderait de fortes rancunes envers certains membres de l’équipe, comme Peter Navarro qu’il a traité de «moron», mais aussi contre des décisions politiques qui ont nui à ses entreprises, exclusion de XaI d’un contrat de l’administration Trump avec OpenAI, fin du crédit d’impôt pour les voitures électriques.

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Le «Gros et magnifique projet de loi» aurait été la goutte de trop.

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