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Elon Musk insulté par la première dame du Brésil
Crédit: Getty Images

Le milliardaire Elon Musk, propriétaire de X (anciennement Twitter), qui était en conflit avec le Brésil depuis plusieurs mois à propos de la désinformation sur sa plateforme, a vu ce différend ravivé de façon inusitée ce week-end.

Lors d’un événement en marge du sommet du G20 à Rio de Janeiro, Janja Lula da Silva, la femme du président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva a pris la parole pour s’attaquer directement à Elon Musk, affirmant qu’il ne l’intimidait pas, en ajoutant un gros mot pour souligner son mépris.

Brazil’s first lady, Janja Lula da Silva, swore while addressing billionaire Elon Musk during a G20 event on the weekend, at which she spoke about the need to regulate social media to rein in misinformation.

CNN (@cnn.com) 2024-11-18T12:52:43.761Z

Rosangela da Silva s’est directement adressée à Elon Musk alors qu’elle prenait la parole lors d’un événement pré-G20 consacré à la régulation des réseaux sociaux pour lutter contre la désinformation.

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Cette intervention inattendue ravive un conflit qui perdure depuis plusieurs mois entre le milliardaire et le Brésil, après que ce dernier ait récemment été contraint de suspendre temporairement toutes les activités de X dans le pays, en raison du refus de Musk de se conformer à la décision de la cour suprême de nommer un représentant légal pour sa société au Brésil.

Dans un moment inattendu, alors que Rosangela da Silva évoquait les moyens de réguler les réseaux sociaux, un bruit de navire s’est fait entendre. La première dame, sur le ton de la plaisanterie, a immédiatement réagi en lançant que c’était Elon Musk qui se manifestait, avant d’ajouter, sans détour: «**** ***, Elon Musk», en affirmant qu’elle n’avait pas peur de lui!

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De son côté, Musk a réagi sur X en prédisant que le président brésilien Luiz Inácio Lula da Silva allait perdre ses prochaines élections.

Rappelons que ce conflit avait débuté lorsque le Brésil avait insisté sur le fait que X et Elon Musk devaient respecter les lois locales concernant la désinformation en ligne. Musk avait refusé de se conformer aux ordres de la Cour suprême, qui lui demandaient de bloquer des comptes accusés de diffuser des «fausses informations» et des messages haineux.

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Musk avait ensuite renvoyé ses représentants légaux du Brésil, se privant du même coup du droit d’opérer ses compagnies selon une loi du brésil, la cour suprême avait après plusieurs tentatives de faire coopérer Musk dû se voir dans l’obligation de faire fermer X dans tout le pays, et la menace allait aussi au service satellite Starlink de Musk, qui refusait d’obéir a la cour lui demandant de couper X de ses services internet.

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Finalement, après plusieurs semaines, Musk avait changé d’avis et commencé à se conformer aux décisions de la Cour suprême.

En conséquence, le Brésil avait autorisé X à reprendre ses activités dans le pays en octobre dernier.

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.

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