Bien que la tutelle de Britney Spears ait pris fin en 2021, la bataille n’était pas terminée pour la chanteuse. De nombreux litiges, principalement avec son père, jetaient de l’ombre sur la vie de la jeune femme.
Britney and Jamie Spears settlement avoids long, potentially ugly and revealing trial https://t.co/2f5ONGLFPO
— The Associated Press (@AP) April 30, 2024
C’est donc récemment que la bataille judiciaire a pu réellement se conclure. L’entente, dont la majorité des détails demeurent confidentiels, résoudrait tous les litiges en cours entre les deux parties et concernerait principalement les frais de justice.
On se rappelle que Britney Spears avait accepté de prendre en charge les frais juridiques de son père lors du procès concernant sa tutelle. À son grand soulagement, la vedette n’a plus besoin d’être au tribunal ni d’être impliquée dans des procédures judiciaires. Une victoire, bien que selon les dires de la gagnante du procès, les dernières années ont laissé leur lot de cicatrices.
La chanteuse a partagé un message sur Instagram, peu après le règlement, dans lequel elle déplorait l’absence de justice et affirmait que sa famille lui avait causé un préjudice considérable pendant sa mise sous tutelle. Britney a supprimé le message et désactivé son compte Instagram peu de temps après, soulignant ainsi un traumatisme émotionnel encore bien présent malgré la fin des procédures juridiques. Depuis, son compte a été réactivé.
Rappelons que la mise sous tutelle de Britney Spears avait débuté en 2008 après que Britney ait traversé des difficultés personnelles dues à une pression médiatique intense, à son divorce et à sa séparation de ses enfants. C’était juste après qu’elle se soit rasé les cheveux.
Le combat juridique de Britney ne s’est pas limité à la lutte contre le contrôle de ses finances par son père, mais a également porté sur son autonomie personnelle. Cette campagne a attiré l’attention du monde entier, notamment grâce au mouvement #FreeBritney. Plusieurs documentaires, dont Framing Britney Spears du New York Times, mettant en lumière les restrictions et la surveillance auxquelles la chanteuse était soumise pendant sa mise sous tutelle, n’ont fait qu’amplifier ce phénomène.
La résolution de ce problème juridique pourrait clore un chapitre, mais aussi en ouvrir un autre.
Elle pourra en effet désormais gérer ses propres finances qui sont évaluées à environ 60 000 000$.