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Une base d’ADN d’enfants migrants créée par l’administration Trump
Crédit Getty Images

Selon Wired, des milliers d’enfants migrants auraient été inscrits dans une base de données ADN criminelle du FBI en vertu d’une politique instaurée en 2020, lors du premier mandat de l’administration Trump.

NEW: The US government has added the DNA of approximately 133,000 migrant children and teens to a criminal database, which critics say could mean police treat them like suspects “indefinitely.”

WIRED (@wired.com) 2025-07-16T17:31:10.284Z

Selon les données les plus récentes du premier trimestre 2025, une nette hausse des prélèvements d’ADN a été constatée, portant à plus de 1,5 million le nombre de migrants dont l’ADN aurait été collecté par les services de Customs and Border Protection (CBP) depuis le lancement du programme.

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Parmi eux, des enfants migrants, parfois âgés d’à peine 4 ans, ont également été concernés, avec plus de 133 000 prélèvements d’ADN recensés, selon les estimations rapportées par Wired.

Ces données ont été intégrées à la base permanente CODIS (Combined DNA Index System), habituellement utilisée dans le cadre d’enquêtes criminelles pour comparer des échantillons d’ADN prélevés sur des scènes de crime ou provenant de personnes condamnées pour des infractions graves.

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Selon Wired, sur plus de 133 000 jeunes migrants de moins de 21 ans, 230 étaient des enfants de moins de 13 ans, certains à peine âgés de 4 ans, et plus de 30 000 étaient âgés de 14 à 17 ans, tous ajoutés de façon permanente à la base de données ADN criminelle.

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