
L’administration Trump, en manque de solutions concrètes pour faire fléchir la Russie, en vient désormais à proposer une idée farfelue dans l’espoir d’influencer Vladimir Poutine. Face à l’échec des pourparlers de paix, Trump mise sur la Coupe du monde de la FIFA 2026 pour manipuler Poutine.
Une nouvelle position farfelue

Après avoir imploré, sans succès, Poutine sur Truth Social de mettre fin à ses attaques contre l’Ukraine en pleine phase de pourparlers, Trump adopte désormais une nouvelle position, dans l’espoir de convaincre le président russe de mettre un terme à la guerre déclenchée par l’invasion de l’Ukraine en 2022.
Depuis plusieurs semaines

Cette proposition étrange de la part du président des États-Unis survient alors qu’il tente, depuis plusieurs semaines, de conclure désespérément un accord de paix entre la Russie et l’Ukraine.
L’une de ses promesses électorales

Alors que la pression s’intensifie autour de l’une de ses promesses électorales, soit mettre fin à la guerre en Ukraine dès son premier jour à la Maison-Blanche, Trump avance désormais que Vladimir Poutine pourrait envisager de cesser ses attaques sanglantes si la Russie obtenait une place à la Coupe du monde de la FIFA 2026.
Son invasion illégale

Le pays avait en effet été suspendu des compétitions par la FIFA et l’UEFA après son invasion illégale de l’Ukraine en février 2022.
Son agression insensée

Alors que Donald Trump était, selon le New York Times, en discussion avec le président de la FIFA, Gianni Infantino, il se serait dit surpris d’apprendre que la Russie était exclue de la Coupe du monde et ne pourrait être réintégrée tant qu’elle ne mettrait pas fin à son agression insensée contre l’Ukraine.
Les initiatives

Le président des États-Unis semble chercher désespérément n’importe quel levier susceptible, selon lui, de faire fléchir Vladimir Poutine, alors que toutes les initiatives de l’administration Trump dans ce dossier se sont jusqu’à présent soldées par des échecs. Le vice-président JD Vance a d’ailleurs reconnu que la Russie «demande trop» pour mettre fin à la guerre avec l’Ukraine.
Une part plus lourde de responsabilité

Une forme de frustration gagne désormais les rangs de l’administration, qui, après avoir initialement blâmé l’Ukraine au début des pourparlers, commence à admettre que Moscou pourrait porter une part plus lourde de responsabilité dans la prolongation du conflit.